Bukowskipanting075 |
L’hiver sur mon
plafond mes yeux gros comme des réverbères.
J’ai quatre pattes comme une souris mais
je lave mes propres sous-vêtements à barbe j’ai
la gaule, la gueule de bois et pas d’avocat...
J’ai la tête en gant de toilette. Je chante
des chansons d’amour et je soulève de l’acier.
Je préférerais mourir que de pleurer. Je ne peux pas
blairer les cabots je ne peux pas vivre sans eux.
Je colle ma tête au réfrigérateur blanc
et j’ai envie de pousser un cri comme
on pleure les dernières larmes de sa vie, à jamais mais
je suis plus grand que les montagnes.
plafond mes yeux gros comme des réverbères.
J’ai quatre pattes comme une souris mais
je lave mes propres sous-vêtements à barbe j’ai
la gaule, la gueule de bois et pas d’avocat...
J’ai la tête en gant de toilette. Je chante
des chansons d’amour et je soulève de l’acier.
Je préférerais mourir que de pleurer. Je ne peux pas
blairer les cabots je ne peux pas vivre sans eux.
Je colle ma tête au réfrigérateur blanc
et j’ai envie de pousser un cri comme
on pleure les dernières larmes de sa vie, à jamais mais
je suis plus grand que les montagnes.
in the winter on my
ceiling my eyes the size of street-
lamps. I have 4 feet like a mouse but
wash my own underwear-bearded and
hungover and a hard-on and no lawyer. I
have a face like a washrag. I sing
love songs and carry steel.
I would rather die than cry. I can't
stand hounds can't live without them.
I hang my head against the white
refrigerator and want to scream like
the last weeping of life forever but
I am bigger then the mountains.
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