" Je sais que quand j'ai voulu écrire,
j'ai raté mes mots, et c'est tout.
Que mes phrases sonnent le français ou le papou,
c'est exactement ce dont je me fous.
Mais si j'enfonce un mot violent comme un clou,
je veux qu'il suppure dans la phrase et fasse
comme une équimose à cent trous !"
A. Artaud, Rodez, 1943.
« Ce que vous avez pris pour mes œuvres n'était que les déchets de moi-même, ces raclures de l'âme que l'homme normal n'accueille pas. »
RépondreSupprimerLe pèse-nerfs