A l'aube du temps morcelé
comme un puzzle démoli
à coups de pieds,
je me suis réveillée.
Oiseau, bonjour.
Songes, démons, promesses,
a tort et à travers.
C'est donc ainsi que la
quête
commence.
Les mots que le matin
incarne,
lumineux, intrépides.
La traversée du doute et du
déchirement.
La beauté active,
acharnée dans la confiance.
Désir si lourd.
Première heure ne sent
rien,
absorbée par l'image qui
surgit,
sculptée du réel.
Là-haut, sur la roche,
il y a un milan.
Je sens le poids de son
regard
à travers mon esprit qui
s'écroule
en petits morceaux.
La parenthèse de l'oubli.
S'envoler.
:-)
RépondreSupprimerBonjour!
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