C’est un train qui passe
Le voyage entre dans ma tête
Puis soudain s’enfuit
L’ange n’est qu’à moitié
tombé du blanc royaume
Ecarlatelé
Un temps de plastique
devient notre poly-mère
Démoulage de verre
Des feuilles mythomanes
chantent un été de parade
L’automne clôt le bal
Assez de mensonges
Nos périples se terminent
Plus rien à tailler
Quel étrange bonheur
Le sol se régénère
Quand la terre meurt
Royaumes de verre
Brisures au sang glaçé
De gueule lampassée
Olivier D.
Chabestan,
Hautes-Alpes
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